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If we don't die, will you marry me ? (Pollen #13)

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Kellen Walters
Deuxième génération

Kellen Walters


Date de naissance : 11/12/1989
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MessageSujet: Re: If we don't die, will you marry me ? (Pollen #13) If we don't die, will you marry me ? (Pollen #13) - Page 2 EmptyDim 13 Mar - 21:48

the award of the
worst place for a proposal
Poppy & Kellen

Je t'ai déjà dit que tu étais génial ? Un rictus étire mes lèvres. « Pas suffisamment, à mon plus grand dam. » je lâche, d'un air faussement dépité. Mais nous n'avons pas le temps de rire, pressés par le temps. Il fallait que l'on se cache, que l'on puisse se soustraire à ces enfoirés. Et je m'étais remémoré la présence d'une cavité dissimulée derrière la cascade, où mon père m'avait emmené pendant mon enfance. Le clapotis de l'eau se fait de plus en plus fort et nous arrivons enfin devant elle, contournant l'étendue frémissante pour longer prudemment le rebord. Je sens mon coeur battre furieusement dans ma poitrine et j'essaie tant bien que mal de m'astreindre au calme. Mais j'étais furieux et je m'inquiétais pour notre sort, si notre équipe n'arrivait pas à tant. Nous étions formés pour ce genre d'intervention et ce n'était une première pour aucun de nous deux mais je voyais les choses différemment depuis que j'étais devenu père. Chaque action, je la réfléchissais en fonction de deux petites créatures qui attendaient notre retour, à la maison. Et je ne pouvais pas me permettre d'être imprudent. Mes pas vont et viennent sur la roche, l'esprit tourbillonnant et je fulmine devant notre stupidité. J'aurais du écouter mon instinct, qui ne m'avait jamais fait défaut et qui m'avait dicté depuis le début que cette collaboration ne me disait rien qui vaille. En attendant, il fallait espérer qu'ils n'allaient pas venir jusqu'ici et que nous allions avoir la chance de nous en sortir vivants. La main de Poppy agrippe soudainement la mienne, me faisant pivoter pour lui faire face. « Et nous allons le rester, j'y compte bien. » je souffle, en pressant ses doigts. Il ne restait plus qu'à attendre, en guettant le moindre bruit, le plus petit mouvement suspect.

Mais le destin semble se jouer de nous lorsque le bruit d'un moteur se fait entendre, non loin de là. J'intime à la rousse de garder le silence, pour surveiller leur destination. Le silence règne à nouveau mais je garde l'oreille tendue, une mauvaise impression logée au creux des entrailles. La voix de Sherman finit par la briser et je retiens à peine un grondement de colère. Je ne voulais pas que ça se déroule comme ça, mais vous ne me laissez pas le choix. Puis c'est mon corps tout entier qui se tend à la mention de nos filles. « Espèce de fils de p- » je crache, soudainement coupé par sa voix qui reprend de plus belle. « Va te faire foutre ! » Ma propre voix résonne tout autour de nous et je me sens vibrer de rage. Pourtant, je m'exhorte à reprendre le contrôle de moi-même, resserrant mes poings et enfonçant mes ongles dans mes paumes pour m'ancrer dans le présent. Ne m'obligez pas à venir vous chercher. Ou à donner l'ordre de tirer ! Ma tête pivote à nouveau en direction de Poppy et je vois l'interrogation dans ses yeux. Se rendre ? Jamais. Ce mot ne faisait pas partie de notre vocabulaire et encore moins de notre apprentissage au sein du SWAT. Mais il fallait que l'on trouve une autre solution. Qui n'impliquait pas de suivre ses ordres. Poppy m'interpelle et me montre une faille dans la roche, suffisamment grande pour s'y glisser. Mais si l'on s'y rendait tous les deux et que personne n'apparaissait de leur côté, ils allaient tout faire exploser. On ne pouvait pas prendre le risque de voir notre seule porte de sortie s'écrouler à cause de l'onde de choc. « On ne pourra pas y aller tous les deux. » je réponds, les lèvres pincées. « Je vais faire diversion, pour te laisser du temps. Tu es plus menue, tu devrais pouvoir te déplacer plus aisément. » Et ça me garantissait sa sécurité. Je n'aurais jamais supporté de la savoir à leur merci, même temporairement. Mais je vois à son regard que ça ne lui plaît absolument pas. Nous avions tout à fait la possibilité de nous y glisser ensemble, mais je ne voulais pas prendre ce risque. S'ils comprenait le subterfuge, ils allaient tenter le tout pour le tout. Autant être plus malins qu'eux et se donner la chance de s'en sortir. « S'il te plaît. » je murmure, en m'approchant. « Vas-y. Et préviens les autres de notre position, quand tu seras à l'extérieur. » Puis je la pousse légèrement en direction de la crevasse avant de faire demi-tour. « Tout ira bien, ok ? » Un léger sourire étire subitement mes lèvres. « Je compte sur toi pour venir me chercher. » Et je me dirige enfin du côté de la cascade, levant les mains et me préparant à apparaître dans le champ de vision de nos adversaires

« Je vois que vous avez enfin décidé d'être raisonnables. » Sherman arbore un rictus éminemment satisfait. J'approche de quelques mètres avant d'aviser le canon de son flingue pointé dans ma direction. Puis d'être encadré par ses complices, également armés. « Je vais devoir te demander de lâcher ton arme, Walters. Sinon tu comprendras certainement que je devrais faire usage de la mienne. Et nous savons tous les deux qui sera le plus rapide, dans cette situation. » Il avait raison. Il aurait forcément un coup d'avance et il avait largement de le temps de faire des trous de ma poitrine avant que je ne dégaine la mienne. Alors je dépose mon pistolet sur le sol, toujours silencieux, le poussant vers lui d'un coup de pied. Pourtant, son air triomphant s'efface aussi vite qu'il est apparu quand il comprend que je suis le seul à sortir de notre cachette. « Où est notre chère Penelope ? Est-ce qu'elle a décidé de se faire désirer quelques minutes de plus ? » rajoute-t-il, me faisant sourire à mon but. Et je hoche les épaules, nonchalamment. « Elle s'est découvert une subite passion pour la randonnée troglodyte. » je lâche, railleur. « Peut-être que vous auriez du faire un repérage des lieux un peu plus poussé, avant de vouloir jouer à cache-cache. » Je ne peux pas cacher le mépris qui dégouline de mes lèvres. Et je vois son bras plonger dans ma direction quelques secondes à peine avant de ressentir une violente douleur dans la mâchoire. « Où est-elle, Walters ? » m'interroge-t-il, la satisfaction désormais remplacée par une profonde irritation. « Comme je le disais si bien, il y a quelques minutes : va te faire foutre, Sherman. » je siffle, sans ciller. « Il est trop tard, tu comprends ? Vous êtes finis, tes complices et toi. » Il fallait que je laisse encore quelques minutes à Poppy pour les prendre à revers. Mes yeux voguant furtivement en direction de l'endroit où elle devait normalement faire irruption, mon palpitant battant à tout allure dans ma cage thoracique. Mais je sens mon souffle se couper à nouveau lorsque son poing libre vient s'enfoncer dans mon sternum, me faisant suffoquer quelques secondes et me faisant tomber à genoux. Pourtant, c'est un rire qui m'échappe, en le voyant perdre la maîtrise de lui-même.  

Une poignée de minutes à tenir, Kellen.
Rien qu'une poignée de minutes
.
 



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Poppy Walters
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Poppy Walters


Date de naissance : 21/01/1989
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MessageSujet: Re: If we don't die, will you marry me ? (Pollen #13) If we don't die, will you marry me ? (Pollen #13) - Page 2 EmptyLun 28 Mar - 23:28

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On ne pourra pas y aller tous les deux. Je me tourne dans sa direction, les sourcils froncés. Il cherchait des excuses. Et je comprenais très bien la raison pour laquelle il réagissait ainsi. Sauf qu'en plus de ne pas me plaire, ça ne me convenait pas. Je n'avais aucune envie de le laisser derrière moi et de le voir courir le moindre risque. Mais je sais aussi qu'il s'agit peut-être de notre seule chance de survivre et que dans l’immédiat, nous n'avons pas de meilleurs plans, malheureusement. Et le temps nous est compté. Alors je fini par accepter, bien qu'à contre cœur. Je le sens me pousser légèrement vers ma porte de sortie, hochant la tête à ses paroles. Puis ma main se glisse dans la sienne au moment où il fait demi-tour, l'obligeant à me faire face de nouveau. « Je sais qu'on n'a pas le temps pour ça, mais je m'en fiche. » Mes lèvres viennent s'écraser contre les siennes, pressant nos paumes quelques infimes secondes. « Est-ce qu'un jour tu cesseras de constamment vouloir me protéger ? » je souffle, un léger sourire étirant mes lèvres,  avant de m'avancer dans la brèche. « Sois prudent. Et ne fais rien d'insensé. » Je voulais rentrer chez nous ce soir, profiter de nos filles, de notre famille et rien d'autre.  « Je reviendrais toujours. » Parce que des âmes liées finissent toujours par se retrouver. Je lui lance un dernier regard avant de disparaître dans l'obscurité de la brèche, avançant avec prudence jusqu'au faisceau lumineux. Et quand, enfin, j'aperçois le ciel et ressens la légère brise effleurer mon visage, je pousse un soupir de soulagement. Arme en main, j'observe rapidement les alentours avant de sortir et de courir me mettre a l'abri derrière un arbre. Je me baisse et, tout en continuant de jeter des coups d'œil un peu partout, tente de joindre notre équipe. Mais le signal ne semble toujours pas vouloir passer. Il fallait que je me rapproche de la route, là où nous avions réussi a communiqué tout à l'heure, mais ça voulait dire m'éloigner de Kellen et le laisser à la merci de cet enfoiré plus longtemps que prévu. Je me décide finalement à contourner la falaise, suivant les voix que j'entends au loin, notamment celle de mon partenaire, analysant la situation. Sherman n'était, évidemment pas seul, mais si je voulais mettre toutes les chances de mon côté pour les prendre à revers, j'allais devoir élargir ma boucle pour éviter que l'un de ses sbires me tombent dessus et ne signalent ma position. Dans un sens, ça me permettrait sans doute de retrouver du réseau. Alors je rebrousse chemin et m'enfonce dans la forêt.

Après quelques mètres de courses, mon émetteur se met enfin à grésiller et je m'arrête subitement pour le saisir. « Vous m'entendez ? » Rien. Jusqu’à ce que les crépitements reprennent de plus belle, bientôt suivi d’une voix éraillée que je reconnais sans mal. « Lloyd ? Lloyd, tu me reçois ? » Enfin. « Oui. » je m’empresse de répondre, par peur que la communication soit de nouveau coupée. « Walters et moi avons été séparé. Il s’est rendu à Sherman pour me faire gagner du temps. Je viens de vous transmettre ma position, dans combien de temps vous pouvez être là ? » Chaque minute comptait et je commençais sincèrement à me demander si la journée allait bien se terminer. « On n’est pas loin derrière toi. C’est quoi le plan ? » Je leur explique brièvement que Kellen et moi avions prévu de prendre Sherman à revers. « Il a sûrement des hommes cachés dans les bois qui attendent patiemment ton retour. » lâche Borden, l’un de nos coéquipiers, avant d’ajouter : « On te couvre. » Inutile de me le répéter deux fois. Je me remets en route, tout en veillant à ce qui se passe dans les alentours et une poignée de minutes plus tard, j’arrive enfin derrière Sherman et mon sang ne fait qu’un tour en découvrant la scène qui se déroule devant mes yeux. Nous avions connus des situations bien pires comparativement à celle-ci, vécus des missions où j’avais cru le perdre, mais on ne s’habituait jamais à ce genre de chose. Quand on tient à quelqu’un, quand on aime une personne avec une telle férocité, on ressent la même douleur qu’on lui inflige. « On est en position, Lloyd. Et la voie est dégagée. » J’acquiesce en silence et j’avance, à pas de loup avant de m’arrêter à quelques mètres de Sherman, mon arme pointée dans sa direction. « Il paraît que tu me cherchais ? » je le questionne, penchant légèrement la tête sur le côté pour trouver le regard de mon partenaire et m’assurer qu’il va bien. « Désolée pour le retard, je me suis perdue. Il faut dire que le chemin est plutôt mal indiqué par ici. » Je l’entends ricaner et pendant quelques secondes, j’ose espérer qu’il se tourne dans ma direction pour permettre à Kellen d’agir, mais il préfère continuer de me tourner le dos. « Tu ferais mieux de te rendre, ma belle. Vous êtes encerclés et tu ne veux pas prendre le risque de découvrir si ta balle m’atteindra avant les leurs ne te touchent. » Une poignée de secondes s’écoule avant que je ne reprenne la parole. « Au contraire, je vais prendre le risque. » Un nouveau rire s’échappe de sa bouche, avant qu’il ne donne l’ordre de tirer. Mais rien ne se passe, aucune balle ne vient fendre l’air et, sous la stupéfaction, il daigne enfin se tourner dans ma direction. « Oh. Pardon. J’ai oublié de préciser que j’ai rencontré des amis en chemin. » Puis mon regard croise celui du brun et je sais que je n’ai pas besoin de dire quoi que ce soit pour qu’il me comprenne.


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MessageSujet: Re: If we don't die, will you marry me ? (Pollen #13) If we don't die, will you marry me ? (Pollen #13) - Page 2 EmptyJeu 19 Mai - 16:58

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Je savais que je me trouvais des excuses pour y aller seul. Mais je ne pouvais supporter d'imaginer ce qu'il seraient capable de lui faire, si elle s'y rendait à ma place. Je pouvais encaisser quelques coups et j'avais confiance en elle pour venir me chercher. Poppy était suffisamment intelligente, je ne me faisais aucun doute quant à sa capacité à me cerner. Mais c'était l'option la plus viable pour s'en sortir. Nous le savions tous les deux et je vois l'acceptation dans son regard, malgré l'inquiétude qui noie ses yeux clairs. Je la pousse légèrement vers la faille avant de faire demi-tour mais sa main s'agripper à la mienne, me faisant pivoter dans sa direction. Ses lèvres s'écrasent contre les miennes et je souris contre sa bouche, ses doigts effleurant ma peau. « Est-ce qu'un jour tu cesseras de me le demander ? Tu sais très bien que non. » Je n'avais jamais cessé de la protéger, de veiller sur elle. Poppy était la personne la plus précieuse à mes yeux. Sois prudent. Et ne fais rien d'insensé. « Tu me connais. » je souffle, avec un rictus amusé. Puis je lui intime de revenir me chercher et je presse une dernière fois sa main avant de la laisser glisser en relâchant l'étreinte. « Je t'aime, Poppy future Walters. » Puis je me retourne avant de lever les bras devant moi, me dirigeant vers la cascade pour affronter nos adversaires. Et mes lèvres se plissent en apercevant le sourire satisfait de Sherman, à mesure de mes pas pour réduire la distance jusqu'à eux.

Le canon de son arme est pointé dans ma direction et j'approche, doucement, en essayant de réfréner l'hostilité qui me traverse de part et d'autre. Son ton est hautain, conquérant, d'une confiance à toute épreuve. Mais moi, j'ai foi en la femme que j'aime et je sais qu'elle va venir mettre un terme à cette mascarade. Alors je m'exhorte au calme et j'essaye de gagner du temps, jouant avec ses nerfs sans toutefois frôler la limite. Je m'accroupis pour déposer mon arme sur le sol, comme il le demande, sans le quitter des yeux. Puis je donne un coup de pied dessus pour l'envoyer de son côté, comme preuve de ma bonne volonté. Mais son sourire s'efface rapidement, quand il comprend que ma partenaire ne compte pas me rejoindre. Je hoche les épaules avant de lui répondre, appréciant l'agacement qui vient se peindre sur ses traits. Et je n'arrive pas à empêcher le mépris qui déborde de mes lèvres, se transformant un feulement de souffrance quand son poing vient rencontrer ma mâchoire. « Trouvez-là. » ordonne-t-il et les deux hommes qui m'encadrent se dispersent, à sa recherche. La pulsation augmente à mesure des secondes et je grimace en lui répondant, jetant un regard furtif à l'endroit où elle est censée apparaître. Puis mon souffle se coupe à nouveau, une douleur affreuse venant éclater au centre de ma poitrine. Je suffoque quelques secondes, tombant à genoux avant d'éclater subitement de rire, en voyant sa superbe se morceler, pour laisser place à son vrai visage. Je me fige momentanément en apercevant du mouvement dans son dos, à quelques mètres. Poppy. Un sourire vient étire mes lèvres et je pose une main sur mon sternum, laissant étouffer une légère quinte de toux. Il paraît que tu me cherchais ? Ses yeux croisent les miens, un court instant et je hoche doucement la tête pour lui confirmer que je vais bien, malgré mes blessures. Son commentaire me tire un rictus et je regarde Sherman tenter de garder la face, menaçant la rousse en croyant toujours qu'il peut s'en tirer impunément. Et c'est un plaisir sans fin qui me remplit quand il daigne enfin se tourner en direction de ma partenaire, constatant qu'il n'y a plus personne pour protéger ses arrières. Et c'est au moment où nous nous regardons à nouveau qu'il est temps d'agir. Je me redresse, grinçant des dents quand ma poitrine siffle devant l'effort. Mais je fais fi de la douleur et je viens balancer ma jambe en avant, attrapant les cheveux grisonnants à l'arrière de sa tête au moment où je viens taper dans le creux de ses genoux pour le forcer à s'agenouiller au sol. Poppy s'occupe de le désarmer, profitant de sa surprise pour lui arracher son arme, d'un coup de crosse. « Je crois que c'est le moment où je peux annoncer que tu es en état d'arrestation, Sherman. » je souffle, à son oreille. « Ton petit moment de gloire est terminé. » Et je tire légèrement sur sa tête pour le forcer à rester au sol, le temps que nos coéquipiers s'avancent pour le récupérer. Après lui avoir énoncé clairement ses droits, il est embarqué en direction du fourgon, rejoignant ses acolytes qui ont été appréhendés par le reste de notre cohorte. Et je me tourne en direction de Poppy après avoir récupéré mon arme, passant une main sur ma mâchoire endolorie. « La prochaine fois, j'écoute mon instinct. Mendoza peut aller se faire voir. » Je l'avais senti depuis le début, que ce mec n'était pas net. Et ça aurait pu nous épargner bien des désagréments. « Mais ça a permis une demande de mariage à couper le souffle. » je rajoute, avec un petit sourire amusé. « Walters, Lloyd, on se retrouve dans la voiture. Il va falloir que vous fassiez un rapport de toute urgence. » Une voix grésille dans nos émetteurs, la connexion enfin rétablie et je passe une main dans mes cheveux. « Il semblerait que le devoir nous appelle. » je lâche, frôlant la main de la rousse alors que nous nous mettons en route pour rejoindre les autres. « Allons remplir de la paperasse et rentrons retrouver nos filles. »

Parce que désormais, il y avait deux petites créatures qui nous attendaient à la maison.



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