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Is your name Wi-fi? Because I'm really feeling a connection. (Sawla #1)

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Leyla Sankali

Leyla Sankali


Date de naissance : 15/06/1996
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MessageSujet: Re: Is your name Wi-fi? Because I'm really feeling a connection. (Sawla #1) Is your name Wi-fi? Because I'm really feeling a connection. (Sawla #1) - Page 2 EmptyVen 24 Sep - 12:29

If you were a vegetable
you'd be a cutecumber.
Sawyer & Leyla

J'aimais cette complicité que l'on partageait, Sawyer et moi. C'était quelque chose de simple et donc, d'infiniment reposant. Je n'avais pas besoin de tergiverser des heures, de me triturer la tête à son propos et ça faisait du bien. La plupart du temps, c'était un ami et j'appréciais vraiment sa compagnie, malgré le melon immense rattaché à ses épaules. Et parfois, nous finissions pressés l'un contre l'autre, si fermement que j'avais l'impression qu'on allait finir par fusionner. Je finissais ensevelie par son parfum entêtant et par la délicieuse pression de ses doigts sur ma peau, de ses lèvres qui traçaient leur chemin ici et là sur mon corps. Impossible de nier cette attraction qui me poussait dans sa direction et qui l'attirait dans la mienne, comme deux aimants qui cherchaient à se rejoindre. Je me sentais en harmonie, j'avais trouvé mon équilibre. J'aimais lui laisser croire qu'il n'était pas le seul parce que c'était plus amusant de voir s'allumer une infime lueur dans ses yeux mais je n'en avais pas besoin, en réalité. Je me satisfaisais simplement de ce que nous avions, je n'avais pas vraiment besoin de plus. Ma solitude ainsi que mon indépendance d'un côté, des choses que je chérissais plus que tout au monde. Et les instants passés avec lui, de l'autre. J'étais libre d'aller où je le voulais, quand je le voulais, je n'avais pas de limites, pas de restrictions. Je pouvais savourer les moments partagés à ses côtés sans me sentir enfermée ou prise au piège et c'était la seule chose dont j'avais toujours eu envie. Quelque chose qui n'était pas toujours à la portée des gens qui s'étaient retrouvés sur ma route.

Mais je me laisse envahir par les clients pour diriger mes pensées ailleurs, me dandinant sur la musique du trio survolté qui prend littéralement possession de la petite scène. Leurs mélodies se succèdent et résonnent dans le haut-parleur accroché au-dessus du bar, projetant des ondes le long de mon épiderme. Et ça m'insufflait toute l'énergie dont j'avais besoin pour suivre le rythme. Pourtant, je dois vite me rendre à l'évidence : Jerry avait sous-estimé l'affluence en ce jour de réouverture. L'extérieur était plein à craquer et je n'avais que deux bras, aux dernières nouvelles. Alors je finis par appeler à l'aide. Soutien qui arrive sous la forme d'un grand blond séduisant et insupportablement joueur. Cependant, nous sommes deux à apprécier le divertissement. Les minutes s'enchaînent et les commandes sont servies, entrecoupées d'effleurements et de gestes qui ne laissent que très peu de place à l'imagination. Tu me revaudra ça, Minimoy. Je l'entends retenir difficilement un grondement et ça me tire un sourire railleur. Et c'est en cet instant que je suis pleinement satisfaite d'être une femme. Parce que moi, ça ne se voit pas si je suis contente. Puis nous continuons à valser derrière le comptoir, distribuant bières et cocktails à la pelle, l'afflux ne diminuant pas. Je commençais à avoir chaud et mes cheveux n'aidaient pas alors je profite de quelques secondes entre deux clients pour attacher ma crinière en un chignon désordonné. Avant de pousser un glapissement de surprise à la sensation de ses doigts glacés sur ma peau. Fichtre. Le bougre. Je le menace presque d'aller fourrer ma main dans son pantalon pour me venger mais je ne pense que pas que ce soit approprié vu le public qui nous entourait. Surtout vu la rougeur sur les pommettes de la quarantenaire qui nous observait. Elle allait nous faire un arrêt cardiaque, à ce rythme. Alors je ravale ma frustration, levant le nez bien haut et lui assurant qu'il n'avait gagné que cette manche mais que j'allais obtenir ma revanche. Mais je passe aux choses sérieuses avec toi quand tu veux, Leyla. « Espèce de gros prétentieux. » je souffle, avec un grand sourire innocent avant de pencher la tête sur le côté. « Tu vas surtout gagner un rendez-vous en tête-à-tête avec ta main droite, mon pote. » je rajoute, en lui tirant la langue. J'entends quelqu'un me héler et je pivote pour répondre à la commande, la musique retrouvant des tonalités plus chaudes, plus estivales. Le groupe venait de venir sa partie, après deux heures de riffs et de tempos entraînants et je vois des couples revenir sur la piste pour se déhancher. Les miennes suivent un rythme langoureux, sur les notes qui passent dans les baffles et je profite de l'accalmie pour nettoyer quelques verres déposés sur le bar.

Le ciel s'assombrit davantage à mesure du temps qui passe et l'espace se vide progressivement, les clients rentrant chez eux au fur et à mesure. Je pouvais gérer le reste des personnes présentes toute seule, à présent et Sawyer avait fini par retourner à l'intérieur sur demande de Jerry. Puis finalement, vient le temps de la fermeture. J'ai l'impression que cette soirée a été d'une longueur affolante et en même temps, très courte. Je n'ai pas vu le temps passer mais j'avais oublié à quel point c'était épuisant lorsque le bar était bond. Lorsque la dernière personne se dirige vers la sortie, je m'occupe de compter la caisse et de faire les dernières vérifications de sécurité. J'éteins l'éclairage qui encadre la grande terrasse sur mon passage, une petite pochette en plastique coincée sous le bras. Avant de donner la recette de la soirée à mon patron et de prendre quelques minutes pour débriefer de celle-ci avec lui. Je me sentais vidée et en même temps pleine d'énergie. L'adrénaline n'avait pas encore quitté mon organisme et c'est d'un pas décidé que je rejoins les vestiaires pour récupérer mes affaires. Mon casier ouvert, je pulvérise quelques gouttes de parfum dans mon cou et je défais l'attache dans mes cheveux, libérant mes boucles folles.

Puis j'entends la porte s'ouvrir dans un grincement familier et un sourire étire à nouveau mes lèvres.

La partie n'était pas encore terminée.



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Sawyer Grimald
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MessageSujet: Re: Is your name Wi-fi? Because I'm really feeling a connection. (Sawla #1) Is your name Wi-fi? Because I'm really feeling a connection. (Sawla #1) - Page 2 EmptyLun 29 Nov - 13:04

do you have a map?
I keep getting lost in your eyes.
Sawyer & Leyla

J’avais tout ce que je voulais, allais-je réellement perdre mon temps à avoir plus ? Leyla était à sa manière, tout ce qui me suffisait. Le plaisir sans les contraintes que pourraient engendrer une vraie relation bien chiante et restrictive. Je ne voulais pas de ça. Je ne voulais pas me retrouver emprisonné et empoisonné par une relation longue durée. A mon âge mes parents s’installaient déjà ensemble, et roulaient bien leur petite affaire dans l’exclusivité, mais trop peu pour moi. J’aimais n’avoir qu’à envoyer un petit message pour avoir à la voir, que rien ne soit compliqué entre nous. C’était tellement naturel. Je n’étais pas prêt pour quelque chose de trop sérieux. J’avais trop de projets, trop d’envies, de rêves, pour mettre ça de côté pour une vie de couple, posée tranquillement. Je n’en étais pour autant pas incertain qu’un jour, je finirais par avoir envie de me poser. Pour le moment, je m’accordais le temps de profiter, de savourer les moments que l’on m’autorisait à partager avec Leyla. Le jour où nos chemins devront se séparer, ce ne sera pas douloureux. Elle reste d’une des personnes que je préfère dans ce monde. Elle me donnait l’impression d’être compris et respecté, et pour ça, ça valait toutes les amitiés de l’univers. D’autant que la nôtre avait certains avantages. On ne cherchait ni plus ni moins tous les deux. Nous nous étions bien trouvés. Qui peut encore prétendre qu’on ne peut pas bien s’entendre avec ses collègues ? Notre dynamique ne fonctionnait que trop bien, pour que l’on prétende que jamais rien ne s’était passé entre nous. Mais ça restait notre vie privée. Ce qui se passait en dehors du bungalow, ne concernait que nous et personne d’autre. Tant que notre travail restait qualitatif. Et nous n’allions pas mentir. Le Tiki, n’avait jamais aussi bien fonctionné que ce soir, avec notre duo aux commandes. Les clients satisfaits n’avaient cessé d’en redemander et nous, de les servir avec plaisir. On avait empoché pas mal de dollars et Jerry allait être ravi. Il devrait nous faire travailler ensemble plus souvent, s’il veut faire fonctionner son affaire à coup sûr. En dehors de la renommée qu’avait acquérit le bar au fur et a mesure de ses années d’ouverture, bien sûr.

Je me remerciais d’avoir fait le choix de porter un long et plutôt large tee shirt noir, parce que je na garantissais pas de me retrouver dans une position plutôt inconfortable si mes émois se montraient à la vue de tous. Leyla le savait, et elle en jouait. Elle savait l’effet qu’elle avait sur moi. S’asticoter derrière le bar gentiment, ça ne pouvait pas finir bien. On se savait. On se connaissait suffisamment pour savoir que si on continuait sur cette lancée, ça finirait chez l’un ou chez l’autre. C’était même certain. A peine acté verbalement, on se savait pour autant. Jusqu’au moment où je décide de me venger à ma manière et vais glisser mes mains fraîches sur la peau de son ventre, pour la surprendre. « Moi ? Prétentieux ? Jamais. » Je réponds avec un sourire satisfait immense. J’étais bien content de voir que ça avait fonctionné, bien que je redoutais ce qui allais m’attendre après. « Oh tu n’oserais pas être si cruelle » J’ajoute en lui lançant mon plus beau regard triste. Ma main droite avait beau avoir été une fidèle amie pendant un moment, je me satisfaisais bien plus d’une petite entrevue avec la brune. Nous finissons le concert ensemble, et quand enfin, les gens commencent à se disperser, je retrouve ma place à l’intérieur dans ce super bar avec une serveuse aimable et gentille. Quel sourire éclatant elle sert aux clients, s’en était presque éblouissant. Leyla me manquait déjà.

L’heure de la fermeture arrive. Fermeture que je fais seul, notre chère collègue ayant fait le choix de fuir aussitôt les dernier clients partis. Je m’occupe de nettoyer, ranger, passer la serpillère sur le sol du bar qui était quand même bien collant. Je fais tourner une dernière fois la machine pour nettoyer les verres et les range. Je compte la caisse rapidement et vais déposer toute les recettes dans le bureau après que Leyla y soit passée. Il me félicite encore pour les recettes, et me remercie d’avoir été donner un coup de main à l’extérieur, là où c’était le plus important. J’étais dans ce bar depuis un moment, et mon travail n’était plus à prouver. Ce n’était pas la voie conventionnelle, surtout dans ma famille où tout le monde est plutôt porté sur aider son prochain. Mon père et mon grand-père chez les pompiers, ma mère infirmière, ma grand-mère était institutrice. Autant dire que Violet et moi, dérogions un peu à la règle dans la lignée de succession, même si tout le monde était très fier de nous. Je me dirige ensuite vers les vestiaires pour au moins changer de tee shirt et me rafraichir vite fait. Ma petite brune favorite se trouvait là, et ça me tire un sourire presque aussi vite. Je m’approche d’elle et peut déjà humer son parfum à quelques mètres. Je glisse mes mains autour de sa taille et l’attire à moi. « Alors Minimoy, cette soirée en ma compagnie ? » Je lance, sachant pertinemment que sa réponse ne serait pas celle que j’attendais.   « Ca te dit un petit after ? » Je souffle, laissant ce dernier s’échouer sur sa peau. Il n’allait rester qu’à décider si nous rentrions chez elle, où chez moi. Dans tous les cas, j’étais suffisamment en forme pour prolonger la nuit jusqu’au petit matin.





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MessageSujet: Re: Is your name Wi-fi? Because I'm really feeling a connection. (Sawla #1) Is your name Wi-fi? Because I'm really feeling a connection. (Sawla #1) - Page 2 EmptyDim 16 Jan - 19:21

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Moi ? Prétentieux ? Jamais. Ce qui suffit à me faire arquer un sourcil, malgré la sensation fantôme de ses doigts contre ma peau. « Et moi je déteste le chocolat viennois. » Alors que l'univers tout entier savait à quel point je vouais un culte à cette boisson. Rappelons que le cacaoyer, en latin, signifie littéralement "nourriture des dieux". Oui, je l'ai googlé. Pour briller en société, bien entendu. Et j'en profite même pour le menacer de finir sa soirée en solitaire, avec sa main droite pour seule compagnie. Oh, tu n’oserais pas être si cruelle. Un sourire mesquin étire mes lèvres et je l'observe, la tête penchée sur le côté. « Ça, c'est ce que tu crois, très cher. » je souffle, sur un ton débordant de défiance. Avant d'être interrompue par une main qui se lève, de l'autre côté du comptoir. Le concert bat son plein, l'ambiance est électrique et je ne compte plus le nombre de commandes qui se succèdent jusqu'à ce qu'il se termine, à me trémousser sur les riffs de guitare. Les verres tintent, l'alcool coule à flot, entrecoupé parfois de jus aux parfums exotiques, la main de Sawyer s'égare de temps à autre contre ma hanche. Et j'essaye de faire comme si de rien n'était, alors que je connaissais parfaitement sa chaleur et la moindre petite callosité qui parsemait sa peau. Puis l'ambiance retombe doucement et les clients se font de moins en moins présents, reprenant le chemin de la maison au fur et à mesure des heures qui s'écoulent. La terrasse finit par se vider, me laissant seule avec la dizaine de verres qui ne demandent qu'à être nettoyés. Une fois propres et alignés sur l'égouttoir, je m'occupe de compter la caisse, pliant soigneusement les billets et sortant la quantité supplémentaire pour la ranger dans une enveloppe en plastique. Le petit coffre est enlevé de son support, glissé sous mon bras et je l'apporte à Jerry pour qu'il le mette en lieu sûr, avec les autres. Je me sentais dans un état étrange, épuisée par toute cette influence mais en même temps, revigorée par la bonne humeur générale qui s'était dégagée de cette soirée. Et c'est en sifflotant que je rejoins les vestiaires afin troquer mon uniforme pour mes habits de ville.

Mes boucles folles sont libérées de leur entrave et mon cou est délicatement parfumé quand la porte s'ouvre à nouveau. Je sais que c'est Sawyer sans même avoir à me retourner. Et un rictus traverse mon visage en le sentant approcher. Deux bras s'enroulent autour de ma taille, pressant mon dos contre son torse. Je fais mine de réfléchir, à sa question. « Mouais. » je murmure, avant de pivoter pour me retrouver face à lui. Mes mains viennent se poser à plat contre ses pectoraux, ma tête se redressant pour capter ses iris limpides. « J'ai connu mieux. » je rajoute, avec un sourire taquin. Ça te dit, un petit after ? Je l'observe, le laissant se languir de ma réponse. Puis mes doigts viennent jouer une mélodie contre son tee-shirt. Mais c'était difficile de me concentrer, avec son souffle tiède s'échouant contre le creux de mon cou. « Je ne sais pas si tu l'as mérité. » je susurre, sans le quitter des yeux. « Il me semble que vous avez été plutôt impertinent, monsieur Grimald. » Son nom de famille glisse sur mes lèvres et je le laisse se dérouler doucement, s'étirer dans le peu d'espace entre nous. Puis mon bras finit par se mouvoir, mes doigts venant glisser contre l'arête de sa mâchoire, effleurer son épiderme chaleureux. « Mais il se trouve que je suis magnanime, ce soir. » je rajoute, dans un sourire. « Alors tu vas pouvoir avoir l'insigne honneur de me raccompagner à la maison. » Tout ça, avec un air éminemment satisfait. « En plus, il me semble que nous avons une histoire de peignoir en satin à régler, toi et moi. » je termine, me propulsant sur la pointe des pieds pour déposer un furtif baiser sur sa gorge offerte. Et je me penche pour récupérer mon sac à dos en cuir noir, sa silhouette suivant le mouvement de la mienne jusqu'à l'extérieur. Le trajet jusqu'à mon appartement se fait sans encombre mais avec une tonne de vannes qui s'enchaînent et des mains qui se frôlent sans arrêt, comme des promesses d'un programme qui s'avère tout à fait rafraîchissant. J'arrive à peine à insérer la clé dans ma serrure à cause de Sawyer qui s'évertue à me molester dans le couloir, son corps tout autour de moi et ses lèvres contre ma nuque, tel le fourbe qu'il est. « T'as rien mangé depuis trois jours ou quoi ? » je le charrie, avec un rictus amusé, avant de pousser la porte d'un coup de pied, crochetant mes mains derrière sa nuque. « Parce que tu m'as l'air terriblement affamé. » Mais je n'étais pas vraiment effrayée à l'idée d'être dévorée, pour être honnête.



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MessageSujet: Re: Is your name Wi-fi? Because I'm really feeling a connection. (Sawla #1) Is your name Wi-fi? Because I'm really feeling a connection. (Sawla #1) - Page 2 EmptyVen 4 Fév - 11:16

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« Tu m’aimes un peu trop pour te montrer cruelle ! » J’ai répondu, l’air taquin. Nos petits échanges n’enlevaient en rien l’attirance et l’alchimie entre nous deux. Il y avait bien plus qu’une attirance physique, nous fonctionnions à merveilles. Nous savions tous les deux comment cette soirée allait terminer. Ce n’était qu’une question d’habitude pour nous. Pour lors, il fallait bien se concentrer sur le travail. Les commandes affluaient, la soirée battait son plein plus que jamais. Je ne comptais plus le nombre de bouteilles tombées au combat de cette soirée. Je ne comptais plus non plus le nombre de softs, les kilomètres de shooters vendus. Je jonglais avec elle aussi habilement que je jonglais avec les verres, m’autorisant même parfois de faire le show, pour continuer à faire vendre, comme on me l’avait toujours appris, parce qu’un serveur qui sourit et qui se vend, ça fait toujours plus de chiffres. J’avais également bien remarqué les personnes qui venaient au bar simplement parce que c’était Leyla ou moi, mais jamais par pure envie de boire un verre. De véritables atout charme pour cet établissement que nos deux silhouettes agiles et habiles derrière un comptoir plus blindé que le Staple center un soir de finale des Lakers – j’abuse un peu, mais pas tellement. Puis le groupe s’arrête, le public les réclame pourtant encore, mais bien vite les rythmes ensoleillés avaient envahi la piste. Déjà les hanches remuaient plus que jamais, exacerbé par la puissance de l’éthanol dans leurs veines. Trop vite je suis contraint de rejoindre l’intérieur de l’établissement, le cœur en miettes de devoir laisser Leyla seule pour gérer la terrasse en cette fin de soirée. J’assure la fermeture avec la même pêche que d’habitude, je discute et pousse vers la sortie les derniers clients et m’occupe du grand nettoyage à la lumière des néons, afin de n’avoir pas grand-chose à faire à ma prise de poste le lendemain. Surtout si la nuit s’éternise, autant dire que je préférais prendre de l’avance. Une petite discussion avec Jerry plus tard, je coupe toute les lumières pour me rendre dans les vestiaires ou ma brune préférée se trouvait déjà.

Même de dos, elle est délicieuse et son parfum est à se damner. J’en savoure toutes les notes en parcourant son cou. Du moins avant qu’elle ne pivote entre mes bras, prétendant que la soirée ne l’avait pas aussi satisfaite qu’à l’ordinaire. « Tu sais que ce n’est pas bien de mentir ? » Je réponds tout aussi taquin, insinuant qu’elle se comportait plutôt comme une vilaine grande fille. Je lui propose finalement une fin de soirée tous les deux. Un after juste elle et moi, comme on l’a toujours connu. « Ne n’aurais jamais osé me montrer impertinent vis-à-vis de toi, enfin. » Je réponds les yeux doux pour obtenir ce que je voulais. Je savais qu’elle ne résistais que pour la forme et uniquement dans le but de faire monter la frustration. Si elle n’avait tellement pas envie, je l’aurais décelé et j’aurais pris mes distances pour le reste de la soirée. Nous nous connaissions suffisamment pour savoir quand il y avait feu vert et quand ce n’était pas le cas. Sa main glisse sur ma peau et met tout mon corps en alerte lorsqu’elle cède finalement. Tout autant que mon esprit fulmine rageusement en ce tant les images de ce peignoir en satin sur sa peau bronzée. Un véritable délice. Le meilleur des desserts après une telle soirée. Nous avions bien mérité notre petit moment. Je prends quelques secondes pour changer de haut et me passer un petit coup de frais, avant de la rejoindre pour partir vers de nouvelles aventures. Notre trajet se fait comme le reste de la soirée, avec un nombre de sous entendu incalculable et surtout une belle dose de bonne humeur. Cependant je ne qu’un être faible et m’engouffrer dans son immeuble me donne simplement plus envie encore d’être contre elle, alors ne m’adonne à la découverte de sa peau du bout des lèvres, commençant tout d’abord par déposer des lignes entières de baisers contre sa nuque. « Il faut dire que j’ai un Ley tout à fait délicieux à portée de main. » Je lance avant que la porte ne s’ouvre et qu’elle vienne s’accrocher à moi en entrant dans l’appartement. « C’est peu de le dire. Vous me donnez terriblement faim, Miss Sankali » Je réponds à mon tour avant de venir lui arracher d’innombrables baisers, la soulevant au passage pour entourer ma taille de ses jambes. Toujours plus proches, le désir plus ardent, dévorant. Laissons tomber le peignoir pour ce soir, il peut bien attendre le petit matin. C’est dans un échange passionné, des souffles courts, des gémissements qui s’écrasent contre les murs et qui secouent nos corps d’un plaisir submerssif que nous terminons la nuit. Blottis l’un contre l’autre. Une nouvelle nuit où le ciel nous a ouvert les bras, pour nous laisser libre de profiter de ce qui était le plus naturel entre nous. Ce n’est qu’au petit matin, après avoir été gracié de la vision de ce fameux habit de satin que je quitte son appartement, me languissant d’ors et déjà de la prochaine fois que nos corps s’emmêleront à nouveau.






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