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Everything collapsed like a castle made of cards | Ashelia #4

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Ophelia Hawks
Troisième génération

Ophelia Hawks


Date de naissance : 22/04/1999
Messages : 20
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MessageSujet: Everything collapsed like a castle made of cards | Ashelia #4 Everything collapsed like a castle made of cards | Ashelia #4 EmptyLun 19 Sep - 19:56

If only it was harder to
break my heart.
Ashelia


« J’ai absolument besoin de toi ! » Me supplies ma meilleure amie. Kendra avait le chic pour toujours avoir des timings qui n’étaient pas les meilleurs. « Fais vite, je dois rejoindre Asher dans une heure. » Je lui réponds dans un soupire. Nous avions décrété hier matin, que nous allions aller prendre le café en fin d’après-midi aujourd’hui et nous avions même convenu d’une heure. Les choses commençaient doucement à changer entre lui et moi, après tout ce que nous avions vécu, ensemble, et après avoir supporté bien trop de mes états d’âmes. Il était temps que l’on se voit dans le calme. Sans que rien ne nous bouleverse, que ce soit lui, ou moi. « Le prince charmant va bien t’attendre si tu as quelques minutes de retard. » Un soupire las s’échappe de mes lèvres, tandis que je me dévoue pour lui faire un sacré paquet de photos pour qu’elle alimente sa plateforme de vente en ligne. Elle s’était mise à la vente de ses habits, afin de faire de la place dans ses placards. Autant dire qu’il y avait à faire. Asher n’était pas le prince charmant. Asher était Asher. Un garçon beaucoup trop bien pour ce monde, qui avait vécu bien trop d’horreurs, lui aussi. Plus que je ne voulais sûrement bien le croire. Mais son âme et la mienne étaient faites de la même étoffe. Seulement lui, n’avait pas abandonné. Lui avait su se relever, quand moi, je m’étais enfoncée, toujours plus bas dans mon chagrin. A en perdre l’essence même de la personne que j’avais pu être. Seulement, depuis qu’il était là, doucement, mon monde reprenait des couleurs. Lentement, j’apprenais à lâcher prise, à lui faire confiance. Il était le premier vers qui j’avais envie de me tourner, pour la seule et unique raison qu’il semblait être l’unique personne capable de panser mes plaies, et de recoller les morceaux. Asher était devenu plus qu’une simple connaissance, ou encore le trouble fait qui s’était installé à ma table, un soir d’automne. Asher était devenu une bouée de sauvetage, une lumière sur mon chemin. A le voir, je me sentais enfin bien, comprise, écoutée. Loin de la moins que rien que je me sentais en permanence, ou pire, l’erreur de la nature que j’étais devenus, dans les yeux et dans l’esprit de ma mère. Entourée de lui et de Kendra, je devrais peut-être m’en sortir. Du moins, j’aurais de quoi me reposer, si jamais le chemin était trop difficile. Il existait encore des jours compliqués, il faut croire qu’il y en aura toujours. Mais sa présence m’apporte un peu de calme, si bien que j’avais hâte de le retrouver.

Je quitte la maison de la brune en quatrième vitesse, j’avais encore des chances d’être à l’université à l’heure pour le rejoindre, et que l’on aille ensemble au café. Il finissait les cours tard, et nous avions convenu ensemble qu’il serait plus simple de faire comme ça. J’avais chargé mon sac de quelques affaires pour travailler. C’était devenu notre routine. S’installer là-bas, prendre un café, subir le regard insistant de Max et les sourires de Stella, travailler un peu, puis papoter, jusqu’à ce qu’il soit l’heure de se quitter. Attendre encore que ça recommence. Parfois, ça durait des heures, à simplement apprécier la compagnie sage et silencieuse de l’autre, se complaire dans un silence qui n’avait rien de lourd ou de gênant. Il était doux, compréhensif, chargé de confiance. Forgé à son image, qui s’imposait comme une constante. Tout contrastait avec la tornade de gentillesse et d’énergie qu’était Kendra, mais j’appréciais. Qu’ils se complètent. Chacun apportait quelque chose, à sa manière.


Lorsque j’arrive sur le parking de l’université, je repère la place la plus proche de la sortie de son bâtiment, non loin de son pick-up. Je pouvais me rappeler ce voyage vécu tous les deux, dans ce véhicule, ainsi que ce qui s’était produit cette nuit-là. Si bien que mes lèvres me picotent à nouveau, rien qu’à l’évocation de ce souvenir. Ma mémoire se souvenait encore de la tendresse de ce geste, d’à quel point il m’avait marquée, que je le veuille ou non. Sans qu’il ne se soit jamais reproduit quelque chose de similaire depuis. Je me perds doucement dans les souvenirs quand un flot d’élève sort du bâtiment, et me rappelle à ce que je devais faire. Je m’extirpe de la voiture pour aller patienter devant cette dernière. J’observe ma montre, jonglant entre la sortie du bâtiment et les aiguilles. Mais les minutes s’écoulent et j’ai le cœur qui bats à mille. Finalement il sort, je l’aperçois de suite, lui qui est si grand, au milieu des élèves. Mais quand la foule se dissipe, à ses côtés se trouve une jeune femme. Une petite brune. Ils s’échangent des sourires complices, même une étreinte et j’ai presque instantanément le cœur en miettes. Je sens ma gorge se serrer. Qui était-elle ? Et pourquoi le voir avec elle, était aussi douloureux ? Je suis partagée entre l’idée de partir en courant loin, monter dans ma voiture et rentrer chez moi, faire face à ma crise de larmes et mes désillusions toute seule. Mais avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, il s’approche, sa main qui me salue et un immense sourire sur son visage. Comme si de rien était, alors que mille scénarios se faisaient dans mon esprit. Il avait peut-être trouvé quelqu’un de moins cassé que moi. Quelqu’un qui ne l’empoisonnerait pas doucement. « Qui était-ce ? » Je lui demande pour simple accueil. Moi qui avait hâte de le voir…




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Asher Marbury
Troisième génération

Asher Marbury


Date de naissance : 21/09/1999
Messages : 19
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MessageSujet: Re: Everything collapsed like a castle made of cards | Ashelia #4 Everything collapsed like a castle made of cards | Ashelia #4 EmptySam 7 Jan - 18:46

when i think everything is fine,
you remind me that there
is still so much to overcome
TrustIssues!Ashelia

« Monsieur Whitfield est de bien bonne humeur, dites-moi. » Les paroles de Rosie sont teintées d'une douce moquerie et mon regard dévie du couloir central pour se poser sur son visage amusé. « Je suis toujours de bonne humeur, pour ton information. » je rétorque, en jouant des sourcils. Nos pas résonnent à peine au milieu du flot d'étudiants qui se pressent dans le bâtiment et j'aurais pu croire que le coup de coude reçu dans mes côtes était involontaire s'il ne provenait pas du grand gaillard marchant à mes côtés. « Je dirais plus que c'est une bonne humeur de type "une fille m'a tapé dans l'oeil et il s'est passé quelque chose de croustillant", tu ne trouves pas ? » renchérit-il et je laisse échapper un râle de frustration devant leur alliance pour me tirer les vers du nez. « Vous êtes insupportables. Rappelez-moi pourquoi j'ai décidé de traîner avec vous ? » Des fois, je me posais vraiment la question. Le bras de la brune s'enroule autour du mien et son visage se presse contre mon bras, tout en battement de cils innocents. Et on savait tous qu'il n'en était rien, à son propos. « Parce qu'on est beaux, drôles et que ta vie serait moins palpitante sans notre géniale présence ? » laisse-t-elle échapper et sa réponse me tire un éclat de rire. « Ça, je ne peux malheureusement pas le nier. » je souffle, comme si ça m'arrachait le coeur de prononcer ces mots.

Roy étudiait dans une autre faculté et à défaut de l'avoir à mes côtés pendant la journée, j'avais trouvé un sentiment de profond confort auprès de Nigel et Rosie. Notre amitié s'était faite comme ça, en quelques jours, comme si ça avait toujours été naturel de me trouver avec eux. Il était facile de leur parler, de les écouter, facile de se laisser porter par leurs naturels lumineux et leur humour décalé. Le géant à la peau brune faisait partie de ma promotion et il s'avérait être un bel atout, quand il ne piquait pas du nez pendant les cours. La jeune femme, elle, s'était destinée au journalisme mais ne manquait jamais un moment de pause ou un déjeuner pour nous retrouver et déverser un flot continu d'informations à propos de sujets divers et variés. Et ces derniers temps, le principal se trouvait être ma vie personnelle. « Tout va bien. Du moins, je crois. J'ai l'impression que les choses avancent enfin dans le bon sens. » Depuis le début, rien n'avait été facile avec Ophelia. Il avait fallu briser chacune des couches de glace épaisse qui constituaient sa muraille, attendre patiemment qu'elle s'ouvre peu à peu, qu'elle comprenne qu'elle ne risquait rien de mal. Et j'avais parfois eu l'impression de marcher sur un fil suspendu au-dessus du vide, à avancer de quelques pas pour reculer aussitôt. Mais depuis notre virée en voiture, je ressentais un changement entre nous, quelque chose qui n'était pas là avant ou qui s'était extirpé de l'ombre pour dévoiler devant moi. Il me suffisait de penser à cette soirée sous les étoiles pour sentir mon coeur battre furieusement dans ma poitrine, pour que mon âme se mette à vibrer d'allégresse. « Regardez-le, il a quasiment des étoiles qui scintillent dans les yeux. Je vais finir par rendre mon déjeuner. » raille mon camarade et mon poing vient s'écraser dans son biceps, pour toute réponse. Son bras s'enroule autour de mes épaules et il nous entraîne en direction de la sortie, dans un rire sonore, semblable à un aboiement. « Tant qu'elle te rend heureux c'est le plus important, mon pote. » Et sa remarque me tire un franc sourire. « Tu nous feras l'honneur de nous la présenter un jour, ta reine des glaces ? » m'interroge-t-il et je hausse les épaules. « Peut-être, si vous le méritez... » je souffle, l'air d'hésiter franchement sur la question. « À ce propos, elle m'attend sûrement dehors pour aller au café. Alors je vais vous souhaiter un belle fin de journée et prendre la poudre d'escampette. » je déclare, en dépassant les grandes portes principales. Mais Rosie n'en démord pas et ses bras viennent s'enrouler autour de ma taille, son visage remonté dans la direction. « Il va retrouver sa belle et ils vont se faire des petits mamours autour d'un cappuccino, c'est si romantique. » chantonne-t-elle en mimant de petits baisers mouillés qui me donnent des frissons. « Arrière, démon ! » je glapis en la repoussant vivement, lui soutirant un rire tout aussi démoniaque que ses singeries. Et en tournant la tête, j'aperçois un visage désormais familier se détacher au loin. Mon visage se fend d'un large sourire et je tends le bras pour lui faire signe d'un geste de la main, saluant rapidement mes amis avant de presser le pas pour la rejoindre.

En arrivant devant elle, j'ouvre la bouche mais je n'ai pas le temps de prononcer un seul mot que sa voix m'accueille d'une simple question. Mes lèvres se referment et mes sourcils se froncent, les traits crispés de son visage ne me disant rien qui vaille. « Rosie ? C'est une amie de l'université. » je souffle, penchant la tête sur le côté. « Pourquoi ? » Ma hanche vient s'appuyer contre la carrosserie de ma voiture, près de laquelle elle attendant et ma main se resserre sur la lanière de mon sac. « Bonjour à toi aussi, au passage. » je rajoute, sentant les battements de mon coeur s'accélérer. J'avais passé suffisamment de temps à l'observer, à tenter de déchiffrer son comportement pour comprendre que quelque chose n'allait pas. Je ne retrouvais pas la jeune femme douce et plus apaisée que j'avais laissé la dernière fois que nous nous étions vus et je savais déjà que j'allais devoir me confronter à de nouveaux obstacles.

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@Ophelia Hawks Everything collapsed like a castle made of cards | Ashelia #4 1308353876
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Ophelia Hawks
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Ophelia Hawks


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MessageSujet: Re: Everything collapsed like a castle made of cards | Ashelia #4 Everything collapsed like a castle made of cards | Ashelia #4 EmptyMer 18 Jan - 16:52

If only it was harder to
break my heart.
Ashelia


La première chose que j’avais fait en rentrant chez moi, après notre expédition, avait été d’appeler Kendra. Elle était la seule à qui je pouvais confier ce qu’il s’était passé. Ma meilleure amie avait été si enthousiaste à l’idée que je m’ouvre à d’autre. Elle ne me connaissait qu’à travers la Ophelia d’avant, sauvage et renfermée. J’avais eu le réflexe de tout lui confier car je ne savais pas vraiment ce que ça allait nous amener à faire. Je pouvais encore entendre son cri de joie, à l’entente de ce qu’il s’était produit cette nuit-là. Hurlant au romantisme et à l’amour. Mais je ne savais pas vraiment quoi en penser. Est-ce qu’on en était vraiment là, lui et moi ? Est-ce qu’on était vraiment prêt à se lancer dans plus que ce que nous avions toujours été ? J’avais eu tellement de mal à le laisser entrer dans ma vie, a le laisser s’imposer comme l’évidence qu’il était au final. J’avais ressenti ce besoin, presque naturel de le faire. Comme si, en faisant ce geste, j’allais trouver des réponses à mes questions. Plus encore s’en étaient posées après avoir passé la nuit bercée par sa respiration, sa présence et tout ce que ça impliquait. Définir ce qui nous animait était compliqué, il n’en restait pas moins un point d’encrage nécessaire dans ma vie. Une personne que j’avais autorisé à entrer, et que je prenais le risque de perdre à chaque jour que le destin faisait. Je savais plus que quiconque qu’il était si facile de perdre quelqu’un que l’on s’autorise à laisser entrer. Il n’avait jamais perdu de sa tendresse, de sa douceur à mon égard. Sa patience était d’or et pour ça, je lui en serais éternellement reconnaissante. Il entendait mes limites, même s’il ne les comprenait pas toujours. Il était ma lumière au bout du chemin. Cette main tendue, que j’acceptais de prendre, quoi qu’il m’en coute.


J’avais bien vite compris que je ne pourrais pas rester celle que j’étais. Repousser tout le monde, n’était clairement pas un plan qui pourrait marcher sur le long terme, ça n’apportera ni confort, ni sécurité, bien au contraire. Asher était devenu cet endroit avec de la chaleur, de la sécurité. A force de temps, j’avais compris que nous étions destinés à être proches, et que je ne pouvais pas continuellement me fermer à lui. Tout évoluait, à chaque pétale de nous qui s’ouvrait. Je trouvais une forme de lumière à ses côtés, et je venais avec de plus en plus de plaisir à chacune de nos rencontre, parce que je sais ce que ça implique. Je sais que je m’y sentirais bien. Qu’il ne forcera rien, que si un jour, j’ai simplement envie de l’avoir à mes côtés, sans avoir à discuter, il le respectera, et sera présent à sa manière. J’avais aussi appris à l’écouter, quand il en avait besoin, à ne pas me centrer que sur moi. Je n’étais plus vraiment seule, et si entretenir des liens humains était encore compliqué, j’apprenais, à ses côtés. On avançait à notre rythme, et le ciel me paraissait parfois bien plus bleu. Sans aucun nuage au-dessus de nos tête pour noircir nos jours prochains. Tout allait bien, aussi bien que l’on pouvait l’espérer quand nos âmes sont brisées Je me sentais bien, mieux, depuis qu’il était entré dans ma vie. La vie me paraissait moins compliquée à supporter. J’attendais le lendemain avec une nouvelle impatience, qui me rendait le sourire. Comme l’idée de le retrouver aujourd’hui, encore une fois. De faire le trajet ensemble. D’aller le retrouver ailleurs, à la vue de tous, un nouveau pas de franchi. C’était autre chose que de se retrouver au café. A l’université, j’étais vue comme un être sauvage et dans le fond, c’était terriblement vrai, parce que je ne me mélange pas, les foules m’effrayaient et me feront toujours peur, je crois. Mais je venais le voir, lui. Me retrouver avec lui. C’était différent, terriblement différent.

Pourtant, en arrivant, j’étais loin de m’imaginer assister à ce dont je me retrouve spectatrice, malgré moi. Elle est serrée contre lui. Une petite brune, que je ne connais ni d’Adam, ni d’Eve. Une sourire jusqu’aux oreilles, un air taquin sur son visage. Cette vision m’emplit d’une profonde tristesse, d’une colère que je n’explique pas. J’ai le cœur serré, presque douloureux. Asher était bien plus sociable que moi, je le savais. Mais j’avais du mal à supporter cette image, parce qu’elle me ramène bien trop à mes insécurité. Moi, je ne savais pas encore le serrer dans mes bras comme ça. Je n’étais pas tout sourire comme elle. J’étais un nuage gris, chargé d’ondes peu positives. Je n’ai pas le temps de me retourner pour prendre la fuite qu’il m’aperçoit et s’approche. Je me retiens plus que jamais, d’exploser et de fondre en larmes. Dans son regard, il y a de la joie. Son visage est même paré d’un sourire. Je ne sais pas lui rendre. Je l’accueille avec la seule question qui a envie de franchir la barrière de mes lèvres. « Une amie ? Elle était serrée dans tes bras… Vous aviez l’air si complices… si proches… » Je lance, d’une voix presque chevrotante, des sanglots que j’essaie de retenir. Une part de moi avait envie de le croire. Mais l’autre, me hurlait qu’il n’en était rien, qu’il avait sûrement trouvé un meilleur temps avec elle. Qu’elle n’était pas aussi noire que moi et que si il cherchait un soleil, alors ce n’était pas avec moi qu’il devait être. « Je n’aurais pas du venir. Je savais que c’était trop beau pour être vrai… » Une profonde détresse commence à m’enserrer la poitrine, j’ai du mal à prendre mon souffle. « Tu vas finir par m’abandonner… » Je lâche en baissant la tête. Plus rien ne filtre vraiment, ce sont mes pensées les plus profondes, et mes insécurités qui parlent pour moi. Je n’étais même pas en colère, je pouvais comprendre qu’il aille voir et chercher mieux ailleurs, j’étais tellement cassée qu’à quoi bon s’entêter, j’étais juste triste, tellement triste, et emplie d’une profonde jalousie, que je ne savais pas contrôler. « Je ne te retiens pas plus longtemps. Vas, rejoins-la… » Et brises-moi le cœur, tu sembles être le seul à pouvoir en être encore capable.



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