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Home for a lifetime | Alouis #6

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Louis Grimm

Louis Grimm


Date de naissance : 30/03/1999
Messages : 94
Date d'inscription : 07/04/2019


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MessageSujet: Home for a lifetime | Alouis #6 Home for a lifetime | Alouis #6 EmptyLun 18 Avr - 18:27

One happy family.
Alix & Louis

Le délai se raccourcissait, nous approchions de la date fatidique. Bientôt, nous ne serons plus 4 mais 5 sous ce toit. Quelques mois après avoir eu une réponse positive de la part du centre d’adoption, une nouvelle opportunité s’était glissée sur notre chemin. Reproduire ce que ma mère avait fait pour moi, était quelque chose que je souhaitais faire. Offrir à un enfant, l’occasion de grandir dans une famille aimante. Avec des parents qui saurons prendre soin d’un enfant. C’était comme ça que j’étais venu au monde, et je remerciais ma précieuse maman pour tout ce qu’elle avait fait pour moi. Si elle ne m’avait pas adopté, je n’aurais jamais eu de sœurs, ni Riven, et je n’aurais peut-être pas connu l’homme qui dort à mes côtés, les cheveux en bataille, mais profondément ancré dans son rêve. Nous n’aurions sûrement pas construit la vie que nous avions aujourd’hui. Deux petites créatures dormaient à poings fermés entre nos murs. Deux petite fille. L’une était née d’une mère porteuse. Une petite fille aussi blonde qu’on peut l’imaginer, notre premier bébé, qui avait fait de nous des papas. Une famille. Nous savions que nous ne voudrions pas nous contenter d’un seul enfant, alors nous avions rapidement enclenché les demandes pour une adoption, qui avait été un peu longue à se mettre en place et à ce que toutes les démarches se mènent aux plusieurs rencontres avec Sereia. Cette petite fille à la peau d’ébène, qui avait rempli notre maison un peu plus. Puis enfin, il y avait cet autre bébé en route. Un couple d’adolescents qui cherchaient une famille pour leur bébé. C’avait été une évidence. Ce sera notre troisième et dernier enfant. Plus le terme approchait, plus j’étais teinté d’impatience. Accueillir un nouveau bébé, c’était toujours un bel évènement dans notre famille. Ma mère était ravie de se libérer un peu de temps pour venir garder ses petites filles, et ne parlons même pas de mon père, qui était un grand-père merveilleux, avec n’importe lequel de ses petits-enfants. Ce soir-là, alors que nos filles étaient profondément endormies et que nous avions profité d’une petite soirée tous les deux, à la lueur des étoiles, le téléphone avait sonné. « Monsieur Grimm ? Nous vous informons que nous venons d’admettre Mademoiselle Delphs, l’accouchement ne devrait pas tarder à se produire ! » Mon cœur avait bondi de joie, et je m’étais précipité dans notre chambre pour retrouver mon meilleur ami et amour de ma vie. « Nous allons être papas dans quelques heures, Al. » Je lance, un sourire immense sur les lèvres. Il ne nous avait suffi que de quelques secondes pour nous préparer et prévenir notre famille qu’il nous fallait quelqu’un pour les filles, que nous partions pour accueillir notre nouveau petit ange. Le temps que mes parents arrivent, nous avions bouclé ensemble la petite valise de vêtements, ainsi que tout le nécessaire à emporter avec nous pour ce bébé, qui n’attendait que nous.

Nous l’avions découverte, quelques heures plus tard, à la sortie de la salle de naissance. Les yeux pleins d’émotions. Notre petite perle. La dernière. Une petite crevette d’à peine 48cm et qui pesait aux alentours de 3 kilos et quelques centaine de grammes. Un tout petit trésor sur lequel nous avions veillé pendant les quelques jours qu’elle avait passé à la maternité. Nous avions, avec les sage-femmes, réappris certains gestes, certaines nouvelles méthodes. Mais je n’avais jamais été aussi heureux, ni comblé, qu’à la vision de l’homme que j’aimais depuis si longtemps, un nouveau tout petit bébé dans ses grands bras. Lui qui débordait toujours d’énergie, se tenait étonnamment calme, et se trouvait toujours tellement passionné, par la vision d’un si petit être humain, qui portait nos deux noms. Comme ses sœurs avant elle. Nous étions les heureux papas, de trois petites filles. Paradoxe du destin. J’entendais encore mon père me souhaiter bon courage, après en avoir eu deux, il savait parfaitement de quoi il parlait. Aujourd’hui, nous avions le droit de la ramener à la maison. Rentrer chez nous, tous les cinq. Nous allions retrouver nos deux grandes, qui avaient gentiment patienter chez leurs grands-parents. Elles me manquaient. J’avais hâte de retrouver notre petite famille au complet.

Alix et moi, étions venus tous les deux, mains dans la main, son siège pour la voiture dans l’autre. Nous étions prêts et tellement impatients. « Attends… » Je murmure en m’arrêtant avant que l’on n’entre dans le service où était précieusement gardé notre petite sirène « C’est la dernière fois qu’on entre ici. On ne reviendra plus après. Je veux garder ce moment précieusement. » J’ajoute, sur le même ton, le cœur gonflé d’une émotion, qu’il comprends sûrement plus que personne d’autre. Nous avions de la chance d’avoir pu avoir trois enfants. Notre situation était privilégié, de par notre bonne condition financière et les preuves que nous avions fournies, mais je mesurais la chance que l’on avait, d’avoir pu aller jusqu’où nous l’espérions, pour former une vraie famille. « Ramenons-là chez nous. » Je conclus finalement, le cœur battant. Les portes automatiques s’ouvrent et nous saluons le personnel que nous croisons sur le passage pour rejoindre la pouponnière. Cette petite pièce, pleine de bébés, où la nôtre dormait encore profondément. « Elle tient déjà tout de toi. » Je commente en riant légèrement. Elle était si jolie, dans un petit pyjama jaune pâle. Mais ce n’était pas suffisant pour qu’elle sorte. Les températures de cette fin d’octobre me poussaient à faire attention à ce qu’elle ne tombe pas malade à peine sortie d’ici. J’avais donc pris soin de l’emmitoufler dans une jolie combinaison que Sofia nous avait envoyé il y a quelques temps en apprenant qu’elle allait avoir un nouveau neveu ou nièce. Notre petite crevette ressemblait à un petit ours à peine éveillé, alors que je l’installe correctement dans son siège auto. « Allons te présenter à tes grande sœurs. » Je souffle en embrassant sa petite main. « Tu crois qu’elles l’aimeront autant que nous l’aimons ? » Je demande en levant les yeux vers Alix. J’espérais que tout se passerais bien, une fois que nous aurons rejoins notre chez-nous.

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Alix Young
Deuxième génération

Alix Young


Date de naissance : 04/05/1998
Messages : 78
Date d'inscription : 06/04/2019


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MessageSujet: Re: Home for a lifetime | Alouis #6 Home for a lifetime | Alouis #6 EmptyLun 29 Avr - 18:07

the most precious thing in our world
Alix & Louis

Je n'ai jamais imaginé ce que serait ma vie, plus tard. Si j'allais avoir ma propre famille. Cette idée n'a jamais fait son bout de chemin dans un coin de ma tête parce que ma propre expérience n'était un modèle pour personne. Mon père m'avait abandonné dès l'instant où il avait su où portait mon coeur. Et ma mère n'a jamais existé pour moi, vu qu'elle est partie peu de temps après m'avoir mis au monde. Longtemps j'ai eu le sentiment d'avancer dans un brouillard épais. D'errer sans le moindre but, sans direction précise. En tout cas, jusqu'à ma rencontre avec Louis. Les Grimm étaient devenus ma famille, mon bien le plus précieux. Ils m'avaient accueilli lorsque mon propre géniteur me reniait, m'avaient ouvert la porte de leur maison quand il m'avait interdit l'accès à la sienne. Ils m'avaient appris ce qu'étaient les grands rassemblements, les repas passés à rire, à partager des histoires. Et avec eux, je me suis pris à penser à mon avenir, à mes envies pour le futur. Tomber amoureux de Louis m'a donné le désir d'en entrevoir les contours, d'en imaginer les fondements. Je voulais avoir des enfants. Avec lui. Et seulement lui. Je n'aurais imaginé personne d'autre. Je l'aimais depuis si longtemps que ça m'avait paru comme une évidence. Tous les obstacles du monde ne m'aurait pas arrêté. Même si ça n'avait pas été facile, nous nous étions battus ensemble pour pouvoir toucher notre rêve du bout des doigts. Jusqu'à l'arrivée de Bonnie et ses boucles blondes. Bonnie et ses immenses yeux curieux du monde qui l'entourait. Bonnie et son immense sourire qui détruisait tout sur son passage, y compris mon coeur. Notre fille. Parfois, j'avais envie de rire comme un dément rien que d'y penser. For Fuck's sake. J'avais l'impression d'avoir été plongé dans un monde parallèle. Ou un rêve. Un rêve beaucoup trop beau, dont j'allais forcément finir par être arraché un jour. Pourtant je me réveillais et j'étais toujours là, auprès de Louis.

Sereia avait été portée par le destin, elle aussi. Même si on l'avait attendue plus longtemps, cette crapule. L'adoption était un procédé compliqué, surtout pour un couple aussi atypique que le nôtre. Et je ne pouvais pas empêcher le pointe d'amertume qui persistait sur ma langue en pensant aux regards qu'on m'avait adressé lorsque nous nous étions présentés pour les démarches. L'apparence avait joué en ma défaveur mais je ne m'étais pas laissé abattre. J'avais prouvé que j'avais peut-être l'air d'un punk à chiens mais que j'étais tout à fait capable d'élever un deuxième enfant. Notre situation le permettait et nous avions fait preuve de notre bonne foi. D'autant plus qu'il y avait quelque chose qui résonnait en moi à l'idée de permettre une seconde chance à quelqu'un. J'avais eu le droit à la mienne, bien des années plus tôt alors ça n'avait été que la continuité de mon propre chemin. Depuis leur arrivée chez nous, je me sentais comblé par une émotion fébrile et pourtant vibrante d'une grande force. J'étais en paix avec moi-même, avec la vie et en accord avec ce que mon coeur avait toujours souhaité. J'étais complet. Enfin, j'allais l'être lorsque la dernière pièce allait compléter notre puzzle.

Naia. Minuscule et fragile. Tellement que j'avais craint de la blesser en la prenant dans mes bras pour la première fois. Mais je n'avais pas pu détacher mon regard de son visage rose et de ses traits plissés par ses premières heures de vie. Mon coeur s'était gorgé de cet amour que je partageais avec ses soeurs et mon impatience n'avait fait que grandir petit à petit. De présenter cette crevette microscopique au reste de sa famille. De notre famille. Louis m'arrête devant l'entrée du service et mes doigts pressent doucement les siens. « Je sais. » je souffle, en levant les yeux sur le panneau. Nous avions eu la chance de pouvoir passer cette porte une première fois. Et elle n'était pas déjà donnée à tout le monde. « On l'a fait, Louis. » Le monde aurait pu se retourner contre nous, ça n'aurait rien changé. Tant qu'il était à mes côtés, j'étais prêt à tout balayer pour le rendre heureux. Je hoche la tête à ses paroles et c'est ensemble que nous entrons à nouveau, pour récupérer notre dernier enfant. Qui dormait à poings fermés dans son berceau, enveloppée dans un pyjama d'un jaune pâle. Louis lui avait fait revêtir une combinaison offerte par Sofia, la faisant ressembler à un tout petit ourson et je ne peux pas empêcher un rire de s'échapper d'entre mes lèvres. « Je ne veux plus jamais qu'elle l'enlève. Elle est trop mignonne. Dis à ta soeur de nous en envoyer d'autres, qu'on puisse agrandir le zoo. » je plaisante, en admirant Naia dans sa nouvelle tenue. Puis après les dernières recommandations de l'équipe soignante, nous l'emportons avec nous, le coeur frémissant d'excitation. Tu crois qu’elles l’aimeront autant que nous l’aimons ? Je relève les yeux vers Louis, les lèvres plissées par la surprise. « Pourquoi est-ce qu'elle ne l'aimeraient pas ? » je l'interroge, les sourcils froncés. « Elles étaient toutes excitées d'apprendre qu'elles allaient avoir une petite soeur. » Un rictus étire mes lèvres, d'un seul coup. « Bonnie fera peut-être la tronche pour la forme, parce que c'est une princesse mais elle sera la première à vouloir la pouponner quand on aura le dos tourné. »          



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Louis Grimm

Louis Grimm


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MessageSujet: Re: Home for a lifetime | Alouis #6 Home for a lifetime | Alouis #6 EmptyLun 29 Avr - 22:26

One happy family.
Alix & Louis

Notre vie était tout ce qu’il y avait de plus proche d’un merveilleux roman. Je ne comptais plus les années de liesse a ses côtés. Il était celui qui avait fait basculer mon univers. Le seul et l’unique, je le savais. Je ne serais jamais capable d’aimer quelqu’un aussi fort que je peux aimer Alix. Son exubérance, son grain de folie, sa manière qu’il a d’être heureux tout le temps. Tout chez lui, me rendait heureux. Surtout, il avait sa propre manière à lui, de m’aimer et c’était terriblement précieux. Au fil des années ensemble, nous avions quitté le nid de mes parents, pour vivre ensemble dans notre toute première maison. C’était là, qu’était née l’idée nouvelle de fonder une famille. La famille, c’était dans mes veines, j’aimais profondément la mienne. Si bien, qu’en construire une avec Alix, c’était une évidence. Alors on avait longuement pris le temps d’en discuter, de se positionner sur ce que l’on souhaitait faire. Égoïstement, nous avions souhaité que cet enfant soit un peu de nous. Alors nous avions fait appel à une mère porteuse. Tout avait fonctionné du premier coup, c’était presque trop beau. Puis la nouvelle était tombée, une première petite fille. J’avais passé des mois à l’imaginer, à dessiner les contours de ce petit être à venir, à me demander si on allait être de bons papas. J’avais passé des heures au téléphone avec ma mère, à chercher des conseils. Elle m’avait rassuré, sans jamais me juger sur mes questions. Puis Bonnie est venue s’ajouter à notre petite famille. Ce jour-là, je crois que je suis retombé amoureux d’Alix. On dit toujours que c’est comme ça, qu’on redécouvre son partenaire, dans un nouveau rôle. Il avait instantanément craqué devant ses grands yeux clairs. Comment ne pas craquer devant cette adorable petite fille, qui avait trop vite grandi sous nos yeux ébahis. Bonnie, c’était l’ange dont on avait rêvé. Une enfant absolument merveilleuse, que j’aime à garder contre moi pendant des heures. Notre famille aime à répéter qu’elle tient son petit caractère de ma personne, ce qui fait beaucoup rire ma jumelle, qui ose souhaiter toujours plus de courage à Alix. T’avais pas assez d’un seul Louis, il te fallait une copie miniature ? Aimait nous taquiner, Riven. L’essentiel pourtant, était que l’on soit heureux, tous les trois.

Puis deux ans ont passés, deux fabuleuses années. Une envie d’agrandir notre cocon, s’était présenté. Parce que pourquoi pas, on pouvait le faire et on se sentait d’accueillir un nouveau petit être parmi nous. Nous avions choisi un parcours différent, qui nous avais demandé de la force et de la patience. C’était un tout autre processus, et surtout, nous avions du faire face à de nombreuses injustices. Nous ne cochions pas toutes les cases. Un couple trop atypique pour certains, peut-être pas assez sérieux pour adopter. Nous avions dû faire nos preuves, pour accéder enfin à notre rêve. Nous avions fait de nombreux aller-retour dans cet orphelinat, vu grandir cette petite fille au loin, tandis que nous rêvions de la ramener avec nous, à chaque voyage. Puis un jour est venu et elle est montée dans cet avion, avec nous. Sereia, notre petite sirène. Elle avait rencontré sa grande sœur et les deux, s’étaient tout de suite adorée. L’émotion m’avait gagnée comme une immense vague, quand Bonnie s’est jetée sur sa petite sœur, pour la serrer dans ses bras. A ce moment-là, j’avais su que la vie serait belle. Qu’on avait eu raison, de faire tout ce parcours.

Et nous étions à nouveau là, dans le couloir d’un hôpital. Nous foulions une dernière fois les couloirs de la maternité, pour ramener notre dernier miracle. Nous nous étions mis d’accord sur le fait que trois, était un chiffre parfait. Nous serions cinq, comme les doigts d’une main. Mon cœur se gonflait rien qu’à cette idée, tandis que je serrais celle de l’homme qui donnait un sens à tout ça. « On a réussi. On est au complet. » Répondis-je en écho à ses paroles. Nous avions réussi, main dans la main. L’amour de l’un faisait la force de l’autre. C’avait toujours été nous deux, ensemble, contre le reste du monde. Tant qu’il était là, j’étais bien, j’étais heureux. On s’empresse presque d’aller récupérer notre petite crevette, que je couvre de bisous, avant de lui enfiler la jolie combinaison que sa tante lui avait fait parvenir. Je fonds d’amour devant la vision de ce petit être terriblement mignon et imperturbable dans son sommeil. « Ne lui donne pas de telles idées, elle va avoir un dressing rempli de costumes d’animaux et je vais être obligé de la couvrir d’amour, tant elle est mignonne. » Répondis-je sur le même ton. J’enregistre finalement la moindre des recommandations, sans en oublier une seule. Nous n’en étions pas à notre coup d’essai, mais ça ne faisait pas de mal de se rappeler les bonnes pratiques. Notre petit ours rejoint son siège tandis que j’interroge Alix, soudainement inquiet de la réaction de nos autres merveilles. « Je sais pas, je me pose simplement la question. » Nous avions préparé nos ainées à accueillir une nouvelle petite sœur chez elles. Quand Seri est arrivée, elle était déjà plus grande. Aucune d’entre elle, n’était habituée à avoir un bébé dans la maison. On avait pris le temps de leur expliquer qu’elle allait probablement pleurer, mais que ce n’était pas grave. On leur avait aussi promis, que ce n’était pas parce qu’un nouveau bébé allait arriver, qu’on allait moins les aimer. La réflexion d’Alix me tire un sourire en pensant à notre déjà, grande fille. « Elle sera la meilleure des grandes sœurs. » Dis-je, finalement, presque sur le ton de la rêverie. La porte se ferme finalement, et je rejoins Alix à l’avant de la voiture. « Tu sais, je crois que je ne pourrais pas être plus heureux. On a la vie dont on a tant rêvé, Al. » Et j’étais infiniment fier de lui, de nous, de tout ce qu’on avait traversé, depuis le premier jour, jusqu’à aujourd’hui. Nous avions fait les bons choix et je me sentais enfin, terriblement complet. C’était terriblement impatients que nous prenions enfin la route pour la grande rencontre.


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