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Will we be safe somewhere ? | Luzo #2

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Enzo Evans
Première génération

Enzo Evans


Date de naissance : 06/11/1991
Messages : 12
Date d'inscription : 06/09/2019


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MessageSujet: Will we be safe somewhere ? | Luzo #2 Will we be safe somewhere ? | Luzo #2 EmptyDim 6 Mar - 22:53

Losing you isn't an option
Lula & Enzo

Lula avait la chance de participer à un film dans un rôle assez important et d’être conviée à toute la promotion, dont les avant-premières dans bien des pays. Nous avions récemment posé nos valises pour la dernière à Londres. Nous avions prévu de rester plus longtemps, juste elle et moi. Toute la tournée médiatique c’était vraiment bien passée, nous n’avions rencontrés aucun problèmes de type personne cherchant à s’en prendre à elle physiquement ou moralement. Les journalistes avaient tous étés droits et corrects envers elle, ils s’étaient même montrés gentils et encourageants, bien qu’un peu intrusifs quand il s’agissait de sa vie personnelle, mais c’était le monde du showbiz et il tournait de cette manière, on ne le refera pas, quoi qu’on en dise. Rien ne fuite vraiment, nous étions prudents. Depuis quelques temps notre relation purement professionnelle à l’époque, avait un peu évoluée si l’on peu dire. En effet, après quelques aveux, nous avions pris un nouveau tournant, en décidant de former un couple. Croyez-moi, j’étais et suis encore, l’homme le plus heureux du monde. Lula est une jeune femme incroyable. Belle, gentille. Tendre et délicate. Une jeune femme qu’il faut aimer et protéger. Protection que je prenais vraiment à cœur, encore plus depuis ce qui lui était arriver la dernière fois au sein de sa propre maison. Sa sécurité était devenue ma principale préoccupation et je m’étais toute mon énergie à y veiller, que ce soit chez nous à Los Angeles, ou à travers le monde. Encore là, tandis qu’elle était en interview, je n’étais jamais loin. A l’observer, admirant son sourire radieux, sa posture droite et magnifique. Son naturel et sa sublime, tout en veillant sur ce qui nous entourait. Je ne voulais pas revivre une deuxième fois l’angoisse à cause d’un malade.
« Monsieur Evans ? Le taxi est en bas de l’immeuble. » M’indique l’une des assistante de production de l’interview. Je la remercie d’un hochement de tête et repose mes yeux sur la blonde, qui termine son entretien avec une série de questions rapide qui seront postées sur les réseaux sociaux. Elle répond avec fraîcheur et sincérité. Je crois que je l’aime un peu plus à chaque seconde qui passe. Sa simplicité et son humour font d’elle une jeune femme incroyable. Son talent la rends encore plus exceptionnel. Tout se termine finalement, et les journalistes la remercie vivement avant que je ne m’approche. « Lula ? Pardon d’interrompre mais il faut que l’on y aille. » Sous-entendu je te veux aussi pour moi l’espace de quelques instants et si on ne se dépêche pas, il y a de fortes chance que le taxi parte sans nous. On prend congé rapidement des journalistes en récupérant les affaires de ma petite amie ainsi que la mienne. On remercie les équipes avant de filer à bord du taxi qui avait été commandé pour nous ramener à notre hôtel.
Le repos de l’après-midi était parfaitement mérité, nous avions passé un long moment blotti l’un contre l’autre à faire le récit de ces quelques jours, à l’abri des caméras et des paparazzis. Si on ne laissait rien fuiter pour le moment, c’était aussi pour garder notre petite bulle, rien que pour nous. Nos proches, les siens, en l’occurrence étaient au courant, mais tous avaient promis de ne rien ébruité. Je savais que l’on pouvait leur faire confiance. Seulement je suis pris de cours par un appel du pressing qui me prévenait que la robe que nous avions déposé hier, était prête. « Je vais aller la récupérer nous seront tranquilles comme ça. Je passe une commande de repas pour ce soir sur le chemin, comme ça on dine à mon retour. » Je m’étais penché pour l’embrasser à plusieurs reprises, avant d’enfiler ma veste et de sortir. La laisser seule pendant plus d’une minutes me faisait bien moins peur que pendant les semaines qui avaient suivi l’intrusion de ce malade sur sa propriété. Mais nous avions été tranquille depuis, alors je me disais que la situation était safe. Cependant je ne traîne pas jusqu’au pressing et appelle ensuite la réception de l’hôtel où nous résidions pour faire monter dans notre chambre, deux repas, précisant bien que c’était ma compagne qui le réceptionnerait sûrement. Consigne que l’hôtel prends en compte.

Je reviens à l’hôtel une heure plus tard, à la hâte, maudissant l’ascenseur d’être si long. Je voulais la retrouver. Je parcours les étages et passe ma carte dans la porte pour ouvrir cette dernière. « Je suis ren… Lula ! » Devant moi se trouve la blonde, assise sur une chaise, pieds et poings liés, les joues striées de larmes. Ce n’est pas possible. C’est un cauchemar. J’allais me jeter sur Lula pour la libérer, mais trop vite, un canon se pointe sur moi. « Et voilà le super-héros. » Crache une voix masculine pleine d’ironie. « Qu’est-ce que vous voulez ?! » Je demande le trouillomètre au maximum et le cœur battant de voir son arme jongler entre Lula et moi. Je croise le regard paniqué de la blonde, et le mien lui crie de tenir bon. On allait s’en sortir. « Elle, bien sûr. Je ne veux qu’elle. » Dit-il sur un ton presque théâtral. Un malade. Un putain de malade. Voilà ce à quoi nous avions à faire.  Encore un. C’était donc ça le prix à payer de la célébrité ?  



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Lula Malone
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Lula Malone


Date de naissance : 07/10/1995
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MessageSujet: Re: Will we be safe somewhere ? | Luzo #2 Will we be safe somewhere ? | Luzo #2 EmptyJeu 17 Mar - 21:11

i know you'll always
be there to save me
Enzo & Lula

« Est-ce qu'il y a quelqu'un dans votre vie, Tallulah ? Une personne qui fait battre votre coeur ? Vous êtes jolie, relativement discrète et les fans s'interrogent beaucoup à votre sujet. » Mes lèvres s'incurvent et je souris, hochant la tête à la journaliste. « En effet. Il y a quelqu'un. » je souffle, me forçant à ne pas laisser mes yeux glisser sur la silhouette d'Enzo, posté sur ma droite. Il était époustouflant, comme à son habitude et je focalise mon regard sur la multitude de pins accrochés à la veste de la jeune femme qui me fait face. Avant de hausser distraitement les épaules, avec une moue contrite. « Tout ce que je peux dire, c'est que cette personne me rend très heureuse. Et que nous préférons rester prudents, pour le moment. » je rajoute poliment, avant de faire diverger la conversation sur autre chose. S'il y avait bien un sujet sur lequel je ne souhaitais pas m'étendre, c'était ma vie privée. Je n'étais pas contre des confessions à coeur ouvert et je ne voulais pas attiser davantage la curiosité du monde entier. Mais je ne tenais pas à ce que l'identité de la personne qui partageait ma vie soit révélée. Pour sa sécurité et la mienne. Et encore plus après ce qui s'était passé chez moi, quelques mois auparavant. Mon garde du corps était devenu bien plus que ça et je ressentais une chaleur constante dans ma poitrine, qui ne faisait que grandir dès qu'il apparaissait dans la pièce. Néanmoins, nous avions convenu qu'il était plus sage de rester discrets pour éviter le moindre incident. Je réponds à quelques question supplémentaires, souriant à la caméra qui nous filme pour les réseaux sociaux. Je savais que j'allais pouvoir regarder ma tête d'ici quelques heures, sur leur page, pour promouvoir le film qui expliquait ma présence dans le studio. Lula ? Ma tête pivote dans la direction du brun et mes yeux ne peuvent s'empêcher d'effleurer les contours de son visage. « Oui ? » je l'interroge, mon coeur tressautant dans ma poitrine à l'entente de sa voix. Puis je me relève du petit sofa en velours rouge, remerciant et saluant poliment la journaliste avant de suivre mon garde du corps, en direction de la sortie.

L'après-midi se déroule dans une paix absolue et je ne me fais pas prier pour me lover contre Enzo, savourant sa chaleur et le confort de ses bras. J'aimais l'entendre me murmurer à l'oreille, j'aimais ses baisers furtifs contre mon épaule, j'aimais sa présence discrète mais terriblement chaleureuse. Il me laissait de l'espace quand j'en ressentais le besoin, il me comprenait, il acceptait mes instants de folie, il était là quand il le fallait. Je ne m'étais jamais sentie aussi bien avec quelqu'un et je savourais la moindre minute à ses côtés. Ne rien dire aux fans, c'était me garantir que d'autres moments comme ça allaient se répéter. J'aimais notre bulle, ce petit cocon agréable dans lequel nous nous trouvions, lorsque l'on avait le temps de se retrouver en toute tranquillité. Mais un appel coupe court à tout ça et je plisse les lèvres, boudeuse, quand il annonce devoir aller récupérer ma robe, déposée au pressing la veille. « Tu ne veux pas envoyer quelqu'un la chercher pour nous ? » je l'interroge, d'une petite voix. Tout ça, agrippée à lui comme un koala sur son eucalyptus. « S'il te plaît ? » je tente, avec une mimique faussement larmoyante. Et j'essaye de le retenir avec des baisers, auxquels il répond bien mais qui ne sont pas suffisants pour l'empêcher d'y aller. Mon coeur se serre dans ma poitrine quand la porte se referme sur le silence. Même si ça allait mieux, je ressentais toujours une pointe de crainte à l'idée de rester seule. Alors je referme les pans de mon long gilet contre ma poitrine, retrouvant le canapé et un bon livre pour faire passer le temps jusqu'à son retour.

Des coups sont portés à la porte, me faisant soudainement relever la tête. Je sens mon coeur pulser dans ma cage thoracique et je fronce les sourcils. Enzo ne toquait, ayant le passe magnétique avec lui. Alors je me redresse, prudemment, approchant de l'entrée de la chambre. J'étais plus que méfiante, depuis la dernière fois. Je frisais la paranoïa et Enzo avait beau me dire que le pire était passé, je ne pouvais pas empêcher l'appréhension de m'envahir, surtout en son absence. « Qui est-ce ? » je demande, d'une petite voix. « Service d'étage. Nous avons reçu une commande de repas pour deux personnes. » Je me mords la lèvre, me rappelant les paroles de mon compagnon avant son départ. Et je pose la main sur la clenche, ouvrant la porte à l'employé de l'hôtel et tendant la main avec un sourire poli pour récupérer notre du. Avant de me figer en apercevant le canon d'une arme dirigé vers moi, dissimulé dans le repli de sa veste de costume. Mon coeur s'arrête, subitement et ma gorge se serre douloureusement. « Qu'est-ce que vous voulez ? » je l'interroge, tremblant devant la folie qui imprègne son regard. « Demi-tour. » lâche-t-il pour toute réponse. « Tout de suite. Ne me fais pas répéter. Je m'en voudrais d'abîmer ton si beau visage, Tallulah. » Je retiens à peine les larmes de terreur qui pointent au coin de mes yeux, sans réussir à détourner mon regard du pistolet pointé dans ma direction. Avant de reculer, doucement, les paumes levées devant moi comme si ça pouvait me protéger de mon agresseur. Çarecommenceçarecommenceçarecommence. Je me revoyais dans ma maison, avec cette silhouette rôdant de l'autre côté de la fenêtre. Et ça tournait en boucle dans ma tête, inlassablement. Impuissante. Enzo était quelque part, dehors. Et je n'avais aucun moyen de l'appeler, cette fois-ci. Je ne pouvais rien faire d'autre qu'attendre qu'il revienne et espérer que j'allais être encore en vie quand il passerait la porte.

Une chaise est traînée dans la pièce principale et je me fais tirer en arrière, avant d'être assise dessus, mes poignets et mes chevilles liées fermement à ses montants. « Ne t'inquiètes pas, ma douce. Je ne te ferai rien tant que ton cher et tendre garde du corps ne sera pas revenu. » je l'entends murmurer, dans mon dos. Avant de sentir un doigt glisser sur la courbe de mon épaule, m'arrachant un glapissement d'horreur. « S'il vous plaît...Ne me faites pas de mal... » je supplie, les joues désormais striées de larmes. « Te faire du mal ? Mais ce n'est pas mon but. Je te veux, Tallulah. Et je t'aurais. Mais pour ça, il faut que j'élimine le seul obstacle à notre amour. » Un frisson de terreur me traverse de part en part, en comprenant la portée de ses aveux. Encore un malade. À croire que je n'attirais que des déséquilibrés. Puis j'ai l'impression que le temps passe à une lenteur insupportable, jusqu'à ce que le déclic de la porte ne se fasse entendre, laissant apparaître le brun. Mais le pire arrive lorsque l'arme du criminel se tourne vers lui, avant de jongler entre nous. Il fallait que je fasse quelque chose, sinon j'allais être la spectatrice de mon pire cauchemar. « Et vous pouvez m'avoir. » je rétorque, subitement. Il fallait que je détourne son attention pour permettre à Enzo de s'approcher suffisamment près. « Vous êtes là pour ça, après tout. » je rajoute, en jetant distraitement un regard à mon compagnon. « Nous n'avons pas besoin d'en arriver là. Prenez-moi avec vous et partons d'ici, ensemble. » je tente, en essayant d'y mettre tout la conviction dont je suis capable, malgré la peur.   



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Enzo Evans
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MessageSujet: Re: Will we be safe somewhere ? | Luzo #2 Will we be safe somewhere ? | Luzo #2 EmptyDim 20 Aoû - 12:58

Losing you isn't an option
Lula & Enzo

Vivons heureux, vivons cachés, c’est bien ce qu’on nous répète depuis toujours, npn ? Nous avions pris cette fameuse phrase au pied de la lettre depuis quelques mois. Nous nous aimions derrières des portes opaques, derrières des rideaux fermés, dans l’intimité d’une voiture aux vitres teintées. Tout à l’abri des regards indiscrets, des paparazzis et autres scruteurs, voyeurs, ou que sais-je. Une part de moi aurait aimé, que tout puisse se faire au grand jour, que je puisse dire au monde entier combien j’étais chanceux, de l’avoir dans ma vie. Mais je préférais, et de loin, pouvoir la protéger. Et ça passait aussi, par garder ce précieux secret, qui me tenait tant à cœur. D’un commun accord, nous nous autorisions du calme et de la félicité, quand nous seuls, pouvions en être spectateurs. Notre amour était fait pour l’ombre, s’il voulait perdurer. Un jour peut-être, quand je la saurais en sécurité pleinement, nous pourrons, enfin avouer, la nature de notre relation. Pour l’instant, je me contentais du rôle de garde du corps en public. C’était mieux pour tout le monde, et au moins, je n’entendais pas de folles rumeurs sur mon compte. Le monde d’aujourd’hui, était si fou, qu’on pourrait bien dire que j’avais profité de sa célébrité, que je n’en voulais qu’à son mode de vie, et que je n’étais même pas amoureux d’elle. Si seulement le monde savait. S’il pouvait comprendre combien je l’aimais. Je lui vouais toute ma vie, et bien plus encore. Dans la limite du respectable bien sûr. Mais mon monde, mon univers, ne vivait que pour elle. Elle était tout ce que j’avais de plus cher, ici-bas. Je ferais n’importe quoi pour elle, pour son bonheur.

Nous avions passé notre après-midi à ne rien faire d’autre qu’être enlacés, l’un contre l’autre, dans une suite trop grande pour nous deux, mais qui nous permettait un peu d’intimité. Je ne m’étais pas fait prier pour lui dire combien je l’aimais, et combien elle était importante pour moi et combien j’avais de la chance de l’avoir à mes côtés. Cet après-midi, nous avions autant elle que moi, eu besoin de cette proximité, de cette chaleur mutuelle que l’on pouvait s’apporter, sans se soucier du reste. Mais ce n’était pas toujours comme ça, parfois elle prenait le temps de faire des choses pour elle, de se retrouver seule. Ce que je comprenais parfaitement avec l’emploi du temps fou, qu’elle subissait. Moi je suivais, et j’étais ravi de le faire, mais j’entendais parfaitement qu’elle ait besoin de se reposer seule, loin de tout, et de se recentrer sur elle-même. Mais notre si doux moment est rompu par l’appel du pressing, auquel je dois me rendre sans trop tarder. « Je pourrais, mais je préfère le faire moi-même. » J’aurais voulu la garder contre moi pendant des heures encore mais ça n’aurait mené à rien et bien que j’aimais ces baisers par-dessus tout, il fallait que j’y aille. « Je reviens vite. C’est promis. » Dis-je avant de passer la porte, inconscient du danger qui rodait autour de nous.

Je n’ne prends conscience que lorsque je reviens, et qu’à ma vision s’impose celle de Lula, attachée à une chaise et une arme pointée sur mon crâne. Je crache toute ma colère sur ce malade, conscient qu’il pouvait nous ôter la vie à la moindre petite contrariété, mais je ne pouvais pas rester impuissant. Il fallait que je puisse la faire sortir. Les mots me glacent le sang. Il la voulait. Pour lui. Qui sait ce qu’un malade dans son genre pourrait faire. C’était tout bonnement hors de question. La colère monte en moi, toujours plus à chaque instant. Je ne comprenais même pas, comment on pouvait être à ce point dégénéré. Ces gens-là avaient dû subir une panne à la naissance, où je ne sais quoi. Mais on devrait tous les enfermer pour éviter que des cas comme ça arrive. Puis Lula prend la parole. Je la regarde. Je sais ce qu’elle cherche à faire. Je gronde de rage, mais cherche tout de même à avancer, tandis que les yeux de notre agresseur sont rivés sur elle. Il l’observe, avec une folie que je ne saurais décrire. C’est effrayant. Je donnerais n’importe quoi pour la sortir de là sans attendre. Mais alors que je fais un pas de plus, il se retourne. Je me stoppe net, mains en avant. « Tu crois que je ne sais pas ce que tu cherches à faire, ma douce ? » Dit-il, en sifflant presque chacun de ses mots. Il est tout bonnement cinglé. « Tu ne veux pas venir avec moi. C’est lui que tu aimes, hein Tallulah ? C’est lui qui t’a arraché à moi. Je vais devoir l’abattre, tu le sais. ». Son discours est en train de me faire vriller. Lula n’était pas une chose. On s’était mutuellement choisi. Je n’avais arraché personne à personne, et encore moins à un fou pareil. « Vous êtes fou. Vous n’aurez jamais Lula. » Je crache en sa direction, ce qui me vaut qu’il s’approche à quelques centimètres de moi, et qu’il vienne accoler son arme à mon visage. Mon pouls s’accélère furieusement, alors que je jette des regards à ma douce. Je ne savais pas quoi faire pour nous sortir de là. Nous étions livrés à nous-même avec ce malade. « Non seulement je l’aurais, mais je vais la faire mienne, qu’elle le veuille ou non. Elle n’aura pas le choix. Elle m’aime. Elle le sait. » Dit-il avec une conviction effarante. Je m’approche d’un pas. Prêt à lui décoller un coup. « Tu crèveras avant même de toucher à un de ses cheveux, tu m’entends ? On va s’en sortir, et toi, tu pourriras six pieds sous terre. » Pitié, faites qu’on puisse s’en sortir. Alors que j’allais pour me reculer, pour me rapprocher de la blonde, son arme se lève en notre direction, et je me décale pour que celle-ci n’atteigne pas Lula. Puis avant que je ne puisse réagir, il presse la détente.




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